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Metro : Last Light – Interview lors de la soirée de lancement

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C’est dans une ambiance rouge sang et souterraine que le post-apocalyptique Metro : Last Light a récemment été présenté à la presse en vue de son lancement calé au 17 mai 2013 dans l’Hexagone.

Deep Silver, qui a remplacé THQ en qualité d’éditeur, nous a convié à une petite présentation en présence de Huw Beynon et Dmitry Glukhovsky, auteur des romans Métro 2033 et Métro 2034, le jeu faisant le lien entre les deux.

Metro Last Light - Screenshot 1

Dans un français remarquable, l’écrivain, qui a participé au développement de Metro : Last Light avec 4A Games, a tenu à signaler que le titre était plus qu’un simple FPS soulevant des questions assez existentielles : l’homme est-il condamné a répéter les erreurs du passé ?, quelle est la place de Dieu dans un futur sans espoir ?, quid du libre arbitre de l’être humain s’il est le jouet des événements ?,… Des questions qui surgissent à l’esprit alors que l’on incarne toujours Artyom et que la guerre civile se prépare entre les différents régimes qui peuplent le métro, dernier refuge de l’humanité.

Metro Last Light - Screenshot 3Metro Last Light - Screenshot 2

Comme l’a bien formulé Huw Beynon, Global Brand Manager auprès de Deep Silver : « Ce n’est pas parce que vous avez un flingue entre les mains que vous êtes obligé d’appuyer sur la gâchette ». Visiblement, Metro : Last Light, ce n’est pas qu’un FPS. Vous en aurez le coeur net très vite dans notre test.

Au moment où vous lirez ces quelques lignes, Metro : Last Light n’attendra plus que vous sur PlayStation 3 notamment.

 

Interview de Huw Beynon

Pouvez-vous présenter en quelques mots Metro : Last Light aux joueurs PlayStation qui n’auraient pas joué au premier opus (Metro 2033) ?
Metro : Last Light est une épopée. Cette nouvelle aventure située dans le métro d’un Moscou post-apocalyptique. (Le métro de Moscou a été conçu et construit pour résister à une attaque nucléaire, et abriter les survivants des années plus tard). Vous jouez en tant qu’Artyom et vous êtes plongé dans ce monde cauchemardesque, où le reste de l’humanité s’est retranché dans une âpre lutte pour le pouvoir.
Metro combine du « survival horror », un combat mortel contre les ennemis humains et les sauvages mutants, des phases d’exploration et un riche système de furtivité pour créer une expérience incroyablement variée !

L’histoire est-elle compréhensible si nous n’avons pas joué à Metro 2033 ?
Oui, assurez-vous juste de regarder la cinématique d’introduction et vous serez prêt à jouer ! Metro: Last Light a été conçu pour être une histoire autonome.

Qu’est-ce qui différencie Metro : Last Light de tous les autres FPS déjà disponibles ?
Metro n’est pas un FPS classique. Il combine beaucoup de styles différents de jeu et d’influences de genre. Par exemple : vous portez un masque à gaz tout le temps et lorsque vous êtes sur la surface irradiée, vous aurez besoin d’utiliser constamment les filtres de rechange ou vous vous asphyxierez. Vous devez même essuyer manuellement le sang (ou pire) qui pourrait avoir éclaboussé votre masque. La plupart des armes dans le jeu sont d’extraordinaires engins artisanaux qui utilisent des projectiles improvisés comme le pneumatique «Tihar» ou un fusil de précision silencieux qui tire des roulements à billes. Tout l’éclairage dans le jeu est dynamique, grâce à l’incroyable moteur de jeu développé en interne. Vous pouvez donc désactiver les boîtes à fusibles et éteindre les sources lumineuses pour vous tracer un passage furtif à travers chaque niveau… Il y a tellement de mécaniques uniques dans le jeu, mais la principale différence par rapport aux «shooters» plus écervelés est que Metro : Last light vous enveloppe dans son atmosphère comme aucun autre jeu et vous met au défi d’utiliser votre cerveau autant que votre doigt sur la gâchette.

Savez-vous si les développeurs ont rencontré des difficultés particulières pendant le développement de la version PlayStation 3 ?
Le moteur maison de 4A Games a été délibérément conçu pour fonctionner sur toutes les plateformes et pour profiter des processeurs multi-coeur comme le Cell de la PS3. Bien que Metro: Last Light soit leur premier jeu sur PS3, ils ont été facilement en mesure d’égaler et dépasser souvent les performances de la version 360. Nous sommes très fiers de la version PS3 !

A-t-on une chance de voir la licence ou un autre jeu de 4A Games sur PlayStation 4 ?
Il est trop tôt pour le dire. Le studio est occupé à travailler sur des contenus téléchargeables pour Metro: Last Light, mais ils aimeraient sortir un titre sur PS4 à l’avenir. Reste à voir si cela sera un jeu « Métro » ou quelque chose d’entièrement nouveau.


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